Après avoir révélé un aperçu complet de la première mission majeure du jeu, WB Games Montréal a fourni un autre aperçu du RPG d’action, en se concentrant davantage sur cette moitié du RPG. Le studio a publié des images de 28 des skins à débloquer du jeu, dont beaucoup font référence à d’anciennes bandes dessinées.
Une fois de plus, IGN propose des exclusivités exclusivement pour les jeux dans le cadre de son IGN First. La vidéo comprend l’explication du développeur sur l’origine de l’inspiration et sur la manière dont ils seront utilisés dans le jeu. Les joueurs pourront acquérir ces tenues et modifier cinq de leurs éléments : les bottes, la capuche, les emblèmes, les gants et les couleurs (le choix de jeux de couleurs du développeur, allant d’une palette sombre à une palette lumineuse).
Cependant, les joueurs ne peuvent pas échanger ouvertement des pièces entre chaque costume, car, comme l’a expliqué le directeur créatif Patrick Redding, l’équipe voulait « un niveau de clarté et d’unité » dans chaque costume. Le directeur du jeu, Geoff Ellenor, a été plus franc, affirmant qu’il voulait s’assurer que les joueurs « avaient toujours l’air cool » et que « les cagoules rouges n’avaient pas l’air un peu bizarres » en raison de « mauvais choix de mode ». Le jeu prendra en charge la transmogrification, ce qui signifie que les joueurs pourront combiner l’apparence d’une tenue avec les attributs d’une autre.
Il y aura 11 styles de costumes différents dans Gotham Knights au lancement, ce qui donne 44 skins répartis équitablement entre les quatre héros. La vidéo en question présente sept d’entre eux :
- Shinobi
- Eternal
- Au-delà de
- Neon Noir
- Knight Ops
- Year One
- KnightWatch
WB Games Montréal a également expliqué son processus unique de développement de ces skins. Le studio parcourt le Web à la recherche d’artistes appropriés, ce qui leur permet de réaliser des conceptions plus rapidement et d’incorporer une variété de styles artistiques.
« Nous savions que nous voulions créer une variété de styles de vêtements avec de nombreux looks uniques, alors j’ai pensé que nous avions adopté une approche très unique pour ce projet », a déclaré le directeur artistique Jay Evans. « Nous avons commencé avec une équipe interne, mais nous avons également recherché des artistes qui correspondaient au style que nous recherchions. Nous avons essentiellement cherché sur Internet, sur différents sites Web, sur les portefeuilles de différentes personnes, sur différents réseaux sociaux, et finalement nous avons trouvé Les artistes venaient d’Allemagne, de France, de Corée, du Japon, des États-Unis et ils ont tous inspiré ces styles vestimentaires.
Les développeurs permettent aux artistes d’ajouter librement leurs propres styles pour obtenir des « résultats impressionnants ». DC lui-même a des critiques, mais selon WB Games Montréal, elles ne sont pas restrictives et permettent toutes sortes d’expérimentations. Les artistes utilisent aussi fréquemment le critère « est-ce que je veux ça comme objet de collection sur mon bureau ? ». Pour trouver le meilleur croquis. L’artiste légendaire Jim Lee a même conçu un costume qui rappelle le look de base du personnage.