Battlefield 6 : un retour aux sources acclamé par la critique

La licence Battlefield renaît enfin de ses cendres. Après les déceptions successives de Battlefield V et surtout de 2042, EA et DICE signent avec Battlefield 6 un véritable retour aux sources. L’ambition ? Refaire du chaos militaire un spectacle authentique, crédible et grisant.

Les critiques saluent un vrai renouveau

À la veille de la sortie mondiale, l’embargo presse est levé… et les notes tombent comme des tirs de mortier : 17/20 sur jeuxvideo.com, 9/10 sur IGN, 8/10 pour Gamesradar, 4/5 chez VGC ou encore 7/10 chez Gamekult. Sur Metacritic, le jeu affiche une moyenne de 84, contre 67 pour Battlefield 2042. Une remontée spectaculaire.

La seule ombre au tableau : une campagne solo jugée fade et convenue, trop inspirée de Call of Duty. Mais le cœur de Battlefield 6, c’est son multijoueur, et là, le consensus est clair : c’est du lourd.

Un multijoueur explosif et mieux pensé

Le jeu brille par ses batailles massives et nerveuses, où la lisibilité et la stratégie reprennent le dessus sur le chaos. Les classes repensées redonnent de la profondeur tactique, et les différents modes — du team deathmatch confiné aux affrontements à grande échelle — offrent une variété qui manquait depuis longtemps à la série.

Les testeurs évoquent un “retour à l’essence même de Battlefield”, cette sensation de vivre la guerre moderne à la première personne, entre réalisme brutal et adrénaline pure.

Un moteur graphique qui en met plein les yeux

Grâce au moteur Frostbite, Battlefield 6 est visuellement impressionnant. Les décors urbains, la destruction dynamique et les effets de lumière en 120 FPS sur consoles renforcent l’immersion. Techniquement, le jeu reste étonnamment fluide et optimisé, même sur machines moins puissantes.

Malgré une campagne perfectible, Battlefield 6 se positionne clairement devant Call of Duty cette année. Avec une base solide et une communauté déjà conquise, EA signe le véritable come-back que les fans attendaient depuis presque dix ans.

Les prévisions parlent de 5 millions d’exemplaires vendus en une semaine : un objectif ambitieux, mais à en juger par l’enthousiasme général, tout à fait plausible.