Après avoir marqué les esprits avec le remake de Silent Hill 2, Bloober Team revient sur le devant de la scène avec une création 100 % originale : Cronos: The New Dawn. Les premières critiques sont tombées et elles dressent le portrait d’un survival horror ambitieux, à la croisée des chemins entre Dead Space, Resident Evil 4 et Silent Hill.
Un accueil globalement positif

Avec une moyenne de 79 sur Metacritic, le titre signe un départ solide pour une nouvelle licence. Certes, certains espéraient un score plus élevé, mais il faut rappeler qu’il s’agit d’une nouvelle IP, un exercice toujours risqué. Dans l’ensemble, la réception confirme que Bloober Team a franchi un nouveau cap.
Parmi les notes notables :
- Gameblog : 8/10
- Gamekult : 8/10
- Gamereactor UK : 9/10
- Game Informer : 7,8/10
- IGN : 7/10
Un éventail de critiques qui souligne à la fois les réussites du projet et ses limites.
Une création originale qui se démarque

Là où Silent Hill 2 Remake reposait sur un chef-d’œuvre déjà établi, Cronos: The New Dawn est une œuvre inédite, conçue de A à Z par le studio polonais. L’univers post-apocalyptique qu’il dépeint, peuplé de créatures difformes et de survivants désespérés, propose une atmosphère oppressante qui rappelle les grands noms du survival horror tout en affirmant sa propre identité.
Plusieurs critiques saluent la direction artistique et l’ambiance sonore, immersives et angoissantes, qui confirment le savoir-faire du studio en matière de mise en scène horrifique.
Un potentiel perfectible

Tout n’est pas parfait cependant. Certains testeurs pointent du doigt un système de combat jugé un peu rigide, une exploration trop prévisible, et des affrontements contre les mutants qui finissent par devenir répétitifs. Des défauts qui ternissent légèrement l’expérience mais ne remettent pas en cause le plaisir global.
Avec Cronos: The New Dawn, Bloober Team réussit à franchir un cap délicat : passer du remake d’un monument vidéoludique à la création d’un univers inédit. Si tout n’est pas encore au niveau d’un Resident Evil 4 ou d’un Dead Space, le studio signe une entrée convaincante dans l’arène des grandes licences de survival horror.
En somme, un pari réussi qui laisse entrevoir un avenir prometteur pour cette nouvelle franchise.






